En moi vivait la question, elle avait creusé un trou béant

Publié le par mi-ladydi

Les oeufs étaient trop cuits et la salade ramollie. Le trou était noir comme l'enfer, et tout autour on devinait des impacts, certainement l'outil tranchant. En l'air virevoltaient les paillettes de poussières étalées à l'infini et suspendues. La chaleur est insupportable, PARAPET anti-suffocation, goutelettes infimes. Obscurité et noirceur dans le coeur, ralentissement puis arrêt. Comme un poids parfaitement pesant, MINUIT arrive, avec honnêteté il s'annonce. Le but est précis, il trace le résultat. Les actions se découvrent et le calendrier sature. L'essentiel est de l'atteindre, parfait dans ses rêves décevant peut-être. Il te fait avancer, accrochée à lui, fidèlement tu crois. CISEAUX qui découpent la lumière, des milliers de prismes jaillissent. Joie, jubilation, bonheur, épanouissement tu recherches, paix et sérénité tu rencontres. Les pièges brulants sont à éviter, TOUFFUS, les obstacles comme une moustache épaisse et piquante. Rats et souries s'allient contre le félin au VENIN bleu. Le ciel vide sans mouvements va s'éteindre. PEUT-ETRE une société nouvelle à inventer, avec des bougies plus grasses et des radis sans carbonne.

Publié dans écriture

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